IMPORTANT : Cet ouvrage reprend les 21 premières nouvelles, soit l’équivalent de 2 tomes ordinaires. Vous réalisez ainsi plus de 20% d’économie par rapport à l’achat à l’unité.
Libre à vous de choisir des fac-similés de piètre qualité ; le présent ouvrage a été entièrement recomposé, revu, corrigé et annoté au besoin, l’orthographe modernisée, car déchiffrer et interpréter ralentit et gâche le plaisir de lire ; bref, tout a été fait pour rendre votre lecture plus accessible et agréable.
Au moment où commence la production narrative de Bandello, l’art de la nouvelle est toujours largement tributaire en Italie de l’imitation du Décaméron de Boccace. Il fait une part essentielle à la riche élégance du style, à la force du mot sans réplique qui résout un dilemme ou un embarras, à l’exemplarité morale ou pratique du dénouement. Sans se borner à des sujets tirés de l’actualité, Bandello apporte dans la nouvelle plus de liberté d’écriture, le sens de la chronique, du « vécu » quotidien, le goût de l’histoire saisissante ou captivante par elle-même, indépendamment de sa signification idéologique ou de sa portée morale. Conteur abondant, qui sait multiplier et étendre les péripéties, il a fourni une ample matière aux narrateurs et aux dramaturges européens des XVI° et XVII° siècles.
IMPORTANT : Cet ouvrage reprend les 21 premières nouvelles, soit l’équivalent de 2 tomes.
A propos de l’auteur
Matteo BANDELLO (ca 1484-1561), Dominicain, évêque d’Agen, est considéré comme le plus important héritier de Boccace. Ses 214 Nouvelles ont toutes pour fond des faits réels. La violence des passions, l’atrocité des crimes, forment leurs traits dominants. Il fut très lu, réédité de nombreuses fois. En Angleterre, romanciers et dramaturges, notamment Shakespeare, lui empruntèrent quantité de sujets (notamment le thème de Roméo et Juliette) par l’intermédiaire de ses adaptateurs français, Boistuau et Belleforest.