’Les Dieux ont soif, écrit par Anatole France, est un roman captivant qui nous plonge au cœur de la Révolution française. Publié en 1912, ce livre nous transporte dans un Paris en proie à la terreur et à la violence de l’époque.L’histoire se déroule en 1793 et suit le parcours de Evariste Gamelin, un jeune peintre idéaliste qui se retrouve emporté par le tourbillon des événements révolutionnaires. Passionné par la cause républicaine, Gamelin se laisse peu à peu aveugler par la soi...
’Les Dieux ont soif, écrit par Anatole France, est un roman captivant qui nous plonge au cœur de la Révolution française. Publié en 1912, ce livre nous transporte dans un Paris en proie à la terreur et à la violence de l’époque.L’histoire se déroule en 1793 et suit le parcours de Evariste Gamelin, un jeune peintre idéaliste qui se retrouve emporté par le tourbillon des événements révolutionnaires. Passionné par la cause républicaine, Gamelin se laisse peu à peu aveugler par la soif de justice et de vengeance qui règne dans la capitale.
Au fil des pages, Anatole France nous dépeint avec une plume incisive et poétique les différentes facettes de la Révolution française. Il nous fait découvrir les excès du Tribunal révolutionnaire, les rivalités politiques, les intrigues amoureuses et les sacrifices consentis au nom de la liberté.
Les Dieux ont soif est un roman qui interroge les notions de justice, de pouvoir et de fanatisme. Anatole France nous pousse à réfléchir sur les conséquences de nos idéaux et sur la fragilité de l’humanité face à la violence et à la folie des hommes.
Ce livre, salué par la critique pour sa finesse d’écriture et sa profondeur, nous offre une plongée saisissante dans l’histoire tourmentée de la Révolution française. Les personnages, complexes et attachants, nous entraînent dans un tourbillon d’émotions et de réflexions.
Les Dieux ont soif est un incontournable de la littérature française, un roman qui nous rappelle que les idéaux peuvent parfois mener à la destruction, et que la soif de justice peut se transformer en une soif de sang. Une lecture passionnante et bouleversante qui ne laisse pas indifférent.
Extrait : ”Évariste Gamelin, peintre, élève de David, membre de la section du Pont-Neuf, précédemment section Henri IV, s’était rendu de bon matin à l’ancienne église des Barnabites, qui depuis trois ans, depuis le 21 mai 1790, servait de siège à l’assemblée générale de la section…”’
