Après les aventures décrites dans La Poupée sanglante, la peur s’abat à nouveau sur Paris.
Alors que le relieur d’art Bénédict Masson a été guillotiné pour avoir tué de nombreuses femmes, les mystères continuent. Bénédict Masson avait toujours clamé son innocence, qu’en est-il maintenant après sa mort ?
La Machine à assassiner est la suite directe de La Poupée sanglante de Gaston Leroux. On y retrouve le même mélange d’aventures, d’intrigue policière, de fantastique que dans la première partie.
Et le tout écrit avec la même poésie noire. Un chef-d’oeuvre injustement oublié.
Sobre o autor
Gaston Louis Alfred Leroux est romancier français, connu surtout pour ses romans policiers empreints de fantastique.
Entre 1868 et 1880, il vit avec ses parents à Fécamp (ville de la famille de sa mère, les Bidault) puis au Tréport. A partir de 1880, il est interne au collège d’Eu, qui sera aussi le collège de Joseph Rouletabille.
En 1886, il s’installe à Paris pour mener des études de Droit et écrire des articles pour des revues littéraires, dont la revue Lutèce à laquelle collaborent Verlaine, Laforgue, Willy et d’autres.
Avocat jusqu’en 1893, il a été remarqué par le quotidien Le Matin pour un compte-rendu de procès paru dans Le Paris. Il est embauché pour parcourir les pays et faire voyager ses lecteurs.
De juin 1904 à mars 1906, il est l’envoyé spécial permanent du Matin en Russie et assiste, à ce titre, aux sanglantes prémices de l’écroulement de l’empire des tsars. Une brouille passagère avec la direction du journal le conduit en 1907 à se lancer dans l’écriture du Mystère de la Chambre Jaune, considéré comme un chef-d’oeuvre policier.