Reine vit aux Buissons entre sa tante, Mme de Laval, vieille femme acariâtre qui lui fait la vie dure, et son curé qui est son précepteur et son conseiller. Le hasard veut qu’un accident d’auto fasse arrêter le cousin de Reine, Paul de Comprat, aux Buissons. Reine, enchantée, veut faire durer le séjour de Paul et démolit sa voiture à coups de pioche. Les deux jeunes gens se plaisent, mais ne se l’avouent qu’a moitié. Sur ces entrefaites, Paul repart chez son oncle, M. de Pavolles. Reine, de plus en plus malheureuse, s’enfuit des Buissons et se réfugie au château de Pavolles. Là, elle rencontre la fille de son oncle, Blanche, et apprend que celle-ci est fiancé à Paul. Grand désespoir…
Ce joli roman «à l’eau de rose», qui a pour cadre la province profonde, a en réalité été écrit par une jeune femme, Jean de la Brète étant le pseudonyme d’Alice Cherbonnel. Portée à l’écran, cette histoire fut un des grands succès cinématographiques de l’entre-deux guerres.
Sobre o autor
Jean de La Brète, nom de plume d’Alice Cherbonnel, née à Saumur en 1858 et morte à Breuil-Bellay (Maine-et-Loire) en 1945, est un écrivain français de romans pour jeunes femmes.