Entre Nafi et Babacar, plus rien ne marche, bien que leur fortune augmente, qu’ils aient la même passion pour le bâtiment et travaillent dans la même société, qu’ils aient deux belles filles, Fatou et Khady. Ils jouent le jeu comme tous les autres couples qui savent qu’il serait plus judicieux de troquer leur certificat de mariage pour un certificat de divorce.
Lorsque Babacar reçoit la convocation du juge, il pense que c’en est fini de ses déboires conjugaux. Mais ce n’est que le début d’une tragique confrontation qui n’épargnera ni leurs parents, ni leurs amis, ni leurs enfants.
Au-delà de son lyrisme, ce roman n’est pas seulement l’histoire d’un couple qui se déchire mais c’est aussi celle de personnages qui ont le courage d’assumer jusqu’à en mourir s’il le faut. C’est aussi celle d’un combat contre notre égo, contre toutes les énergies négatives qui nous empêchent d’être en paix avec nous-mêmes : une puissance surhumaine, un bonheur infini.