Tout ça, tout ça, il l’a eu comme problème. Et aujourd’hui, Nicolas Sarkozy incarne ce volontarisme gaulliste. Finalement, il est gaulliste. Sarkozy a été gaulliste, c’est indiscutable. Bon, est ce qu’il est encore? Pffff. Si on considère que de toute façon, depuis que nous sommes engagés dans l’aventure avant l’affaire européenne, cela n’a plus rien à voir avec ce que le général de Gaulle pensait. Non pas que de Gaulle ait été anti-européen, mais il était pour une Europe confédérale, c’est à dire l’Europe des nations dans laquelle chaque nation garde sa souveraineté mais la délègue, elle ne l’abandonne pas. Or, le système dans lequel nous sommes aujourd’hui, nous avons abandonné notre souveraineté. Dès lors, parler du gaullisme, cela n’a plus beaucoup de sens. C’est pour cela que vous ne vous êtes pas rendu à Londres pour vous. Pour fêter ce 70ᵉ anniversaire, je ne suis pas très. Comment dirais je. Je ne suis pas très porté au pèlerinage. Voilà

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