‘De l’autre côté du miroir, un chef-d’œuvre intemporel de Lewis Carroll, nous transporte dans un monde fantastique et enchanteur. Suite du célèbre Alice au pays des merveilles, ce livre nous plonge une fois de plus dans l’imagination débordante de l’auteur.
Dans cette aventure captivante, nous retrouvons Alice, une jeune fille curieuse et intrépide, qui se retrouve cette fois-ci de l’autre côté d’un miroir. Ce monde parallèle, peuplé de personnages énigmatiques et de situations loufoques, est un véritable dédale de jeux de mots et de logique.
Au fil des pages, Alice se retrouve confrontée à des énigmes insolubles, des rencontres surprenantes et des situations absurdes. Elle se retrouve face à des personnages tels que le Chat du Cheshire, le Lièvre de Mars et la Reine Rouge, qui lui réservent bien des surprises.
De l’autre côté du miroir est bien plus qu’un simple conte pour enfants. Carroll y explore des thèmes profonds tels que l’identité, la réalité et la perception de soi. À travers les aventures d’Alice, l’auteur nous pousse à remettre en question notre vision du monde et à repousser les limites de notre imagination.
Avec sa plume poétique et son sens aigu de l’absurde, Lewis Carroll nous offre un voyage extraordinaire dans un univers parallèle où tout est possible. De l’autre côté du miroir est un livre qui captive les lecteurs de tous âges, les transportant dans un monde magique où les rêves et la réalité se confondent.
Plongez dans cette aventure inoubliable et laissez-vous emporter par l’imagination débordante de Lewis Carroll. De l’autre côté du miroir est un livre qui vous fera rire, réfléchir et rêver, et qui restera gravé dans votre esprit bien après avoir refermé ses pages.
Extrait : ”Ce qu’il y a de sûr, c’est que la petite chatte blanche n’y fut pour rien : c’est la petite chatte noire qui fut la cause de tout. En effet, il y avait un bon quart d’heure que la chatte blanche se laissait laver la figure par la vieille chatte (et, somme toute, elle supportait cela assez bien) ; de sorte que, voyez-vous, il lui aurait été absolument impossible de tremper dans cette méchante affaire.”’