作者: Patrizia Birchler Emery

Chargée de cours et chercheuse à l”Unité d”archéologie classique de l”Université de Genève, Patrizia Birchler Emery collabore à plusieurs projets de recherches, en Grèce et à Chypre. Elle enseigne dans les programmes de formation continue en archéologie classique à l”Université de Genève. Elle a notamment publié L”iconographie de la vieillesse en Grèce archaïque : une contribution à l”étude du grand âge ( 2010). Né à Genève, Jacques Chamay a fait l”essentiel de sa carrière au Musée d”art et d”histoire (1981–2003). A ce poste, il a organisé une vingtaine d”importantes expositions, la plupart en collaboration avec l”Association Hellas et Roma. Son abondante bibliographie consiste en catalogues d”exposition, catalogues raisonnés, monographies, articles pour revues scientifiques, magazines et journaux. Il demeure très actif dans son principal domaine d”intérêt, la céramique attique et italiote. Fiorella Cottier-Angeli est diplômée de l”Institut d”Art de Pérouse, avec le titre de « mastro d”arte ceramica ». Dans les années 60 elle ouvre à Genève un atelier de restauration dévolu à la céramique archéologique. En 1973, elle publie aux Editions de Bonvent, dans la série des Métiers d”art, La Céramique, avec réimpressions en allemand, anglais, espagnol et japonais. Expert auprès des douanes durant une trentaine d”années, expert-consultant pour la Biennale de Paris depuis 40 ans, elle a en outre signé des chapitres dans certains catalogues d”exposition, Le peintre de Darius et son milieu (1986), Italy of the Etruscans (1991), L”art des Peuples Italiques (1993) et L”art premier des Iapyges (2002). Frederike van der Wielen-van Ommeren est titulaire d”un doctorat en archéologie classique de l”Université de Genève. Sa thèse portait sur « La céramique à décoration polychrome et plastique dite de Canosa (di Puglia) ». Elle a ensuite enseigné aux Universités de Genève et de Berne. Dans celle-ci, elle co-dirigea le projet Francavilla Marittima ayant pour but d”étudier quelques 5000 fragments de poterie et de figurines, afin d”en déterminer l”origine (publié dans trois volumes spéciaux du Bollettino d”Arte sous le titre La dea di Sibari e il santuario ritrovato).